Aujourd’hui on se retrouve pour les Actualités Banques de la semaine ! 🏦
🔅Les pièces de 1 et de 2 centimes vont-elles disparaitre de nos porte-monnaie ?
Nos porte-monnaie vont-ils bientôt s’alléger de quelques pièces ?💰 La Commission Européenne devrait apporter des éléments de réponse d’ici à la fin de l’année sur l’avenir des pièces de 1 et de 2 centimes d’euros.
❌Supprimer les pièces rouges de 1 et 2 centimes, certains pays l’ont déjà fait. C’est le cas des Pays-Bas, de l’Italie, de la Finlande, de l’Irlande et de la Belgique. En France 🇫🇷 seulement, ce sont environ 13 milliards de pièces de 1 et 2 centimes qui ont été mises en circulation au cours des 20 dernières années.En effet, la disparition de cette petite monnaie fait craindre un phénomène d’arrondi vers un prix supérieur.
🔅Carte bancaire : pourquoi certains commerçants ne l’acceptent toujours pas ?
La carte bancaire est le moyen de paiement préféré des Français. En 2021, les paiements par carte bancaire représentaient 65% de la consommation courante des ménages. 💳
Pourtant, certains commerçants font de la résistance. Dans les faits, les commerçants ont tout à fait le droit de refuser les paiements par CB ou par chèque. Mais pourquoi se priver d’un moyen de paiement aussi populaire que la carte bancaire ?
💸 Les paiements par CB coûtent de l’argent aux commerçants. Le coût du terminal de paiement électronique (TPE), frais de location compris entre 20 et 45 euros par mois. Puis vient s’ajouter un abonnement mensuel, dont le coût varie entre 10 et 50 euros par mois, selon la fréquence d’utilisation et les montants encaissés 📈
🔅BNP Paribas accusée par ONG de financer la déforestation au Brésil.
ONG = Organisme financé essentiellement par des dons privés, qui se consacre à l’action humanitaire.
La banque française BNP Paribas 🏦 a été mise en demeure par des ONG (nord-américaine Rainforest Action Network) de cesser son appui financier à un géant de l’agroalimentaire brésilien, qu’elles accusent de contribuer à la déforestation. 🌲
Marfrig Global Foods est la deuxième plus grande entreprise de conditionnement de viande du Brésil. Marfrig s’est également approvisionnée en bétail auprès d’exploitations agricoles impliquées dans des pratiques assimilables à l’esclavage, notamment le travail forcé et la servitude pour dettes.
Depuis 2017, la loi française sur « le devoir de vigilance » impose aux grandes entreprises de prendre des mesures effectives pour prévenir les atteintes aux droits humains et à l’environnement sur l’ensemble de leur chaîne d’approvisionnement. 👩🏻⚖️
